Je me suis levé cette journée là avec une énergie mitigé. D'un côté, après l'exploration du manoir et l'accident a Bivouac, je me sens une envie de tous explorer, comme si je ne craignais plus rien. De l'autre, je fais encore de la fièvre et je tousse à m'en arracher les cordes vocales. Malgré tout, je parviens à quitter la chambrette que je loue une fois débarbouillé et mieux réveillé grâce à une tasse de thé. Après ce qui c'est produit à Bivouac, il va s'en dire que Ricardo a prit une grande décision. Il est prêt à reprendre les armes!
Il n'était que Charpenti lorsque sa poutre à été brisé. Je n'es jamais su contre qui il avait perdu se combat et peut-être je ne le saurais jamais... Puis, il y a eu une autre arme... Je crois qu'il s'agissait d'un rouleau à pâte? Je ne suis pas certaine, cela fait partit de ses étranges souvenirs embrumés qui me paraissent si étranger. Comme relié à une ancienne vie que je n'es jamais eu. Après cela.... Rien. Ricardo est devenu un Ouvrifier sans pour autant reprendre ses armes, détails si commun de son espèce.
Qu'à cela ne tienne, il est prêt! C'est donc en compagnie de mon fidèle compagnon et de Pasti le Kecleon que le parcours les rues de Vigneaux. On cherche... Je ne sais pas, c'est l'Ouvrifier qui le saura. D'abord, les boutiques de cuisines! Les objets s’alignent sous nos yeux mais il passe toujours au suivant sans s'arrêter. Pas de bol. Nous poursuivons nos recherches un moment et ce n'est que lorsque nous passons devant une petite échoppe forgeronne qu'il s'arrête soudainement.
-Ouvri! Fierfier!
-Oh?Je regarde ce qu'il me pointe du doigts sans être trop certaine. C'est... Un four en brique? Le genre de petit four fait en rond au centre duquel est placé une grille pour faire cuire nos aliments. Enfin... Ça c'est le modèle que je connais! Celui de l'échoppe n'a pas de grille et le propriétaire utilise la flamme vive qui s'en dégage pour garder au chaud les objets qu'ils martèlent de son marteau. Parlons en de ce marteau. Ricardo le fixe aussi avec une envie grandissante. Je dois me tromper! Ce n'est pas le four qu'il désire mais cette arme non? Ce n'est pas du tout quelque chose que j'avais envisagé mais...
-Ricard, viens ici!Je retourne en arrière. Je crois avoir vue cela dans l'une des boutiques que nous avons dépassé... Ah voilà! Je retrouve rapidement le marteau à viande et lui pointe du doigt. Il sourit à son tour avant de grimacer. Utilisant ses deux mains, il m'indique la taille du machin et fait non de la tête. Pasti, pour une raison de j'ignore rigole lors de l'échange. Cela me prend un moment, assez pour que le propriétaire nous fixe d'un mauvais œil avec le lézard qui s’esclaffe, mais je finit par comprendre.
-Il est trop petit?
Un grande signe que oui. Ah! Bon... Plan b alors! On ressors, reprends la direction du forgeron. Je interpelle rapidement. Il ne me prends pas trop au sérieux d'abord, mais comme je finis par froncer des sourcils et surtout, lui sortit un montant d'argent, il capitule. Un marteau à viande sur mesure pour mon Ouvrifier c'est partit!
-Mme. Berthé?Je sursaute puis me retourne. Ah! Le monsieur scientifique qui m'a convaincus de financer ses recherches inachevés! J'ouvre un sourire polie, plus forcé qu'autre chose malgré moi. J'aime pas ne pas être comme il faut avec les adultes. Ils faut les respecter. Mais lui, il ma joué un vilain tour! Quoique... Je l'écoute avec des yeux qui s’agrandissent. La machine est prête? Mais alors, ça veux dire?!
-Je peux passer à votre laboratoire donc?Nous revoilà partit sur les routes de Vigneaux. Je commence vraiment à être fatigué et mes quintes de toux accompagnent notre marche tout du long. Qu'importe! Enfin Ricardo va avoir ce que je lui es promis il y a si longtemps! L'homme nous conduit devant une étrange machine. Si je comprends bien, tous ce que j'ai à faire, c'est de faire entrer Ricardo dans sa pokéball et de placer cette dernière dans le machin... Sauf que parlant pokéball!
-Ricardo, j'ai autre chose pour toi.Je sors une Luxeball de mon sac à dos. En voilà une qui prenait la poussière depuis le temps que je la trainait! J'explique à mon pokémon que non seulement je désire lui offrir un passage dans la machine, afin de faire de lui une créature d'on l'apparence sera aussi unique que sa personne, mais aussi une nouvelle maison qui lui permettra d'évoluer. L'Ouvrifier me broie presque dans ses bras. Je crois que se plan lui va! Allez hop! Donc comme le vendeur ma expliquer, d'abord le gadget d'échange dans la nouvelle luxeball, puis on rappelle Ricardo dans sa maison. Après, on appuie les deux boutons ensemble et hop! Voilà l'énergie rouge et habituel de mon compagnon qui change de sphère! Parfait! Maintenant, dans la machine!
-Je suis incertain du résultat si vous effectué une évolution en même temps!Je cligne des yeux en fixant le scientifique.
-Il vaut mieux ne changer qu'une fois que deux non?Après tout, changer de forme, il y a de quoi déboussoler un pokémon! L'homme hoche les épaules et active son appareil. Wooow! Spectacle son et lumière! Après quelques secondes passé à m'émerveiller devant, tout s'arrête soudainement. L'homme m'invite à ouvrir la maison portative de mon compagnon et je suis aussi inquiète qu'impatiente. J'aspire et coup et j'appuie sur le bouton.
Le rayon d'énergie libère rapidement Ricardo qui réapparaît dans le laboratoire. Pourtant, une lumière blanche et vive nous empêche de voir quoi que ce soit. Le voilà qui grandit et prend en masse musculaire. Dans l'une de ses mains apparaît ce qui semble être une colonne de béton. Lorsqu'enfin, la lumière s'éteint c'est pour révéler un Bétochef unique comme jamais.
-BétoooCHEF!
Une peau grisâtre avec des muscles d'aciers. Des plaque cuirassé aux niveaux des mains et des avants bras. Des poils aussi hirsute que du foin sec ont poussé sur son menton et sur sa tête, lui donnant une petite air de vieux bougre. Pasti, caché derrière mon dos laisse entendre un sifflement impressionné. Ce que je pensais être une colonne de béton dans sa main, arme qui aurait été plus que plausible au vu de la forme ordinaire de l'espèce ce révèle être un feu de camp. Le fond bétonné soutient un cercle de brique creux. Il sera plus que facile de l'utiliser pour faire cuire des aliments sur la route. Tout sourire et fier, Ricardo s'observe sous ses propres coutures alors que moi, je sautille sur place en applaudissant.
-Wooow! Tu es trop fort comme ça Ricard!
Voilà l’humanoïde de presque deux mètre qui me saisit par la taille de sa main libre afin de me poser sur son épaule. Je rigole, chasse au loin un souvenir similaire avec une Nounou et un jeune scientifique. Nous remercions le scientifique avant de retourner chez le forgeron. Il va falloir commander un plus grand marteau!
Utilisation d'une luxeball + ticket échange + ticket mistral sur Ricardo