Saison Un

: Obscure Prophétie

Le son de la clochette résonne dans l'accueil. Sandy passe la porte et entre, son énergie envolée. Le soleil vas bientôt ce coucher et elle est épuisé. De Carakrok à Pignouse en une journée, même sur le dos d'un Tritosor c'est épuisant. Ses vêtements ont connu de meilleure jour et elle songe qu'il vas lui falloir passer au marché demain pour avoir de quoi ce changer. Un détail pareil, au moment de sa fuite lui paraissait insignifiant. Elle avance dans jusqu’au comptoirs, réponds au sourire de la dame.

-Bonjour, j'aimerais une chambre pour la nuit s'il-vous-plait. Oh, et de quoi manger si les cuisines ne sont pas fermé?

La chance lui sourit. L'endroit est coquet et pas trop cher. Un peu en retrait du centre de la ville, parfait pour les voyageurs. Après un repas bien mérité, Sandy rejoint sa chambre et s’étale sur le lit. Ohhh... Comme c'est confortable. Ah non, il ne faut pas dormir tout de suite! D'abord, prendre le temps de se nettoyer un peu, chasser la saleté du jour. Ensuite, elle doit lire. Sa capture de l'étrange pokémon dans le canal l'intrigue. Parlant de monstre de poches, les siens vont-ils préférés passer la nuit dans leurs sphères ou? Autant leur demander!

Sandy attrape ses pokéballs. Il lui faut toujours trouver un moyen pour les différencier. Ricardo et Potage se trouve de sortit après quelques essais. Tout sourire, elle leur demande où ils préfèrent passer la nuit. La réponse est simple. La Canarticho s'envole et atterri sur le lit, se couche sur l'un des oreiller. Car au Charpenti, il fait jouer ses muscles un instant avant de s'étendre au pied du lit. Ah... Bon oui, sa marche aussi. Tout sourire, la Vignelaise passe doucement sa main dans les plumes du canard d'un côté, tournant les pages de son encyclopédie pokémon de l'autre. Et oh! Sancoki, c'est bien le nom de la limace qu'elle as capturée. Cuisinable aussi bien en Carpaccio qu'en Suçarelle. Hum... La dame du centre pokémon à dit qu'il s'agissait d'une femelle... Peut-être cela ferait un beau nom? Mais bon, impossible de la sortir ici sans quelle bave sur le tapis. Cela seras donc pour demain!

Épuisé, Sandy se laisse aller à un sommeil bien mérité. C'était sans compter sur le fait de ce faire réveiller au cœur de la nuit noir par Ricardo. Le Charpenti la secoue vivement, pointe la fenêtre de la chambre du doigt. Il semble avoir remarqué quelque chose à l'extérieur.

-Hum...

Plus endormi que réveillé, Sandy regarde par la fenêtre. Là, dans la rue, un enfant transporte des poutres... Un enfant? Non, elle doit se tromper. Elle plisse des yeux, se penche jusqu'à ce que le bout de son nez touche au verre de fenêtre. Sa respiration crée un nuage de buée sur la matière. Elle recule, frottant lassement l'une de ses paupières ivre de sommeil. Pas un enfant. Un pokémon. Elle tourne la tête, regarde le Charpentit qui est décidément bien intrigué par la créature qui travaille à des heures impossible.

-Tu veux aller l'aider?

-Char, charpenti!

Sandy approuve mollement de la tête. Si tel est le cas, la Vignelaise n'est pas pour l'en empêcher non? Elle se dirige vers ses affaires, attrape la clef de la chambre et la tant à son pokémon. Hum... S'il doit la traîner en plus de son rouleau à pâte et des poutres... Il faut un moment à l'apprenti dresseuse pour songer à une solution au travers de la brume du sommeil. Elle place la clef dans sa besace, passe la sangle sur l'épaule de Ricardo et lui tapote la tête.

-Vas l'aider, je te laisse la clef pour revenir... Moi je vais me coucher...

Elle termine sa tirade par un long bâillement et retourne au lit.



Le Charpenti, heureux de l'offre offerte se précipite sur la porte pour sortir de la chambre. Son humaine est gentille, mais plutôt lente à la détente. Il parcours rapidement le couloir, descend les marches quatre à quatre et traverse l'accueil sans s'arrêter. Une fois dehors il tourne la tête à droite puis à gauche. Enfin, il repère celle qui as attiré son attention. Il l'a rattrape sans peine, n'ayant pas de poids lourd à transporter. Dès qu'il arrive à son niveau il l'interpelle, offre de l'aider. Oh! Pas qu'il ne la crois pas capable de travailler, simplement pour accélérer les choses.

La Machoc le dévisage, plisse des yeux. Finalement, la créature à la peau bleu se décharge sur lu ide toutes les poutres sans prévenir. Ricardo échappe son rouleau, lève les bras pour recevoir la charge. Il tient bon. La créature sauvage approuve d'un mouvement de tête et ramasse l’outil de cuisine délaissé. Sans suit une conversation animée, durant laquelle le duo musclé fait plusieurs allés retour chargé. Le rouleau à pâte termine rangée dans la besace et c'est avec bonne humeur que les pokémons s'acharnent.

Il n'y a pas de trajet précis, de compte à rendre. Que des poutres, trouvés au hasard d'un chantier trimballé pour s’entraîner. Car la Machoc désire gagner en puissance, une histoire de vengeance.  Lentement, le noir de la nuit laisse place aux premières lueurs du jour et toujours, les deux pokémons poursuive l’entraînement, inlassablement. Le soleil finit par montrer ses premiers rayons, loin à l'horizon. Il est l'heure d'arrêter, de faire comme si rien n'avait bougé. Les poutres sont rapporter au chantier, le duo doit se séparé. Mais Ricardo à une autre idée. C'est en rangeant son rouleau qu'il y as songé. Dans la besace de sa dresseuse, les pokéballs gisent. Un genoux à terre, une sphère de capture dans le creux de sa main, il fait sa demande à la belle.

Niv. dresseur Vs pokémon = 0
Niv zone = 0
Niv. pokéball = 0
Objet bonus= 0
total modificateur = 0

Le membre 'Sandy Ferrance' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'Lancer de Capture 0' :

La Machop regarde un moment l'objet offert, puis le Charpenti. Une longue conversation silencieuse as lieu entre les deux créatures. Malgré leur nature combattante, il ne s'agit pas d’établir un dominant, mais bien de trouver une certitude. Elle s'informe, il rassure. Les lueurs de l'aube naissante parvinrent à leur niveau, jouant avec les couleurs de leur peau. Une dernière hésitation, un sourire naissant. La douce dépose sa main dans celle du beau. La sphère qui l'attends en silence l'absorbe aussitôt, scellant cette union naissante. Ricardo se redresse d'un bon, hurla sa joie au soleil levant. Il exécute quelques mouvements agile puis il ralentit, prend une bonne respiration. Il tente d'ouvrir la pokéball, sans résultat. Il la secoue un peu, finit par la lancer pour libérer sa dulcinée.

Ah! Voilà qui est mieux! C'est tout sourire qui lui indique le chemin et en moins de deux, voilà le duo qui entre dans l'auberge. La femme derrière le comptoir est surprise. Sandy l'es encore plus.


À moitié réveillé, la Vignelaise tourne dans son lit. Le soleil n'est pas encore levé, pourtant, elle ne parvient plus à se rendormir. Des années à être parmi les premières debout, installé derrière un fourneau pour préparer le premier pain du jour. On ne change pas une vie d'habitude en une nuit. Grommelant tout bas, elle force son corps à la verticale. Ses pieds se dépose au sol, joue avec la moquette. Potage commence à bouger, à caqueter. Il ne manque pas quelqu'un à l'appel. L'adolescente tourne la tête, dévisage la chambre.

Ricardo n'est pas là. Est-ce lié à son rêve? L'absence de sa besace approuve la théorie. La fatigue s'envole et Sandy décolle. As-t-elle réellement laissé son pokémon partir seul de nuit, en ville inconnu? Voilà qu'elle court dans la chambre, attrape son sac et enfile ses vêtements pour sortir. Le Canarticho est désormais bien réveillé et s’approche, interloqué.

-Ricardo est partit! Partit en pleine nuit! Je pensais que c'était un rêve, qui transporterait des poutres en pleine nui? Mais non, je ne rêvait pas! Je lui es donné les clefs et ma besace, tu peux le croire Potage? S'il se perds? S'il se blesse! Oh! Cela serait de ma faute! Suis-je stupide? Oui oui, complètement stupide! Allez vite vite, il faut y aller!

Sandy as finis de s'habiller, elle attrape son sac à dos et ouvre la porte à la volée. Là voilà qui coure dans le couloir, un Canarticho à ses trousses. Il n'y as pas d'heure pour une vie active. Elle dévale l'escalier, arrive en trombe dans l'entrée. Un, deux, trois pas, la voilà au comptoir. L'aubergiste aussi est levée, déjà en train de préparer la journée. Son arrivé à été remarqué, il la regarde, intrigué. Elle ouvre la bouche, prête à lui demander lorsque la porte d'entrée est ouverte. Ricardo est revenue, une créature bleu est avec lui.

Fier de lui, le petite Charpenti s'avance vers sa dresseuse. Il lui présente la Machop d'une main et lui offre la pokéball de l'autre. Son ami viendrais-t-il de par lui-même agrandir leur famille?