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Kata Strophe Ven 27 Nov 2020 - 18:10 On avance mieux que tout à l’heure, malgré notre cargaison et la force pas super impressionnante du monsieur. La réussite, ça met du baume au cœur ! à ce rythme, Split nous aura fait sortir de la forêt avant même qu’il fasse nuit !
À la remarque sur le fait que la forêt soit hantée, je hausse les épaules, pas vraiment inquiète à cette hypothèse. Surement ! La nuit, du moins. Peu importe ! Me suis déjà faite attaquer en plein cimetière, moi, et j’en suis pas morte ! Enfin, si, en fait, mais pas longtemps. Un petit sourire moqueur marque mes pommettes à l’évocation d’une citrouille volante. Il doit parler de Ciboulette ! C’est d’ailleurs depuis cette histoire de cimetière qu’il me suit, celui-là.
— T’as pas intérêt de dire ça à Ciboulette ! m’exclamai-je d’un rire franc. Il va te faire des mauvais tour si t’essaye de le manger !
Tout en disant cela, je pointe quelque chose qui nous suit, juste derrière le monsieur. En effet, Ciboulette a abandonné sa discrétion en entendant pareille aberration. Il se tient à moins d’un mètre de l’humain, sa tige tirée en arrière d’agacement tandis qu’il juge l’étranger d’un air courroucé.
Quant à moi, je peux répondre en toute innocence à la suite :
— Bien sûr que je sais cuisiner ! Je fais la viande tout comme ma maman, même si c’est toujours moins bon. Je sais pas comment elle fait pour que ce soit aussi bien ! Et le reste c’et pas dur, tu mets tout dans une marmite et pouf, ça fait de la magie sur le feu et en général c’est bon !
"en général", un détail à ne pas oublier. Mieux vaut ne pas parler des ratés, ou lorsque j’ai malencontreusement glissé des choses pas comestibles dans le plat. D’ailleurs, en parlant de choses pas comestibles…
— Et pour les Pokémon poison, c’est pas si dure en vrai ! Faut tout couper les glandes à poison sans rien renverser et complètement vider le poison qui reste. Puis les Nidorino, par exemple, faut bien les dépecer et enlever les pics, mais à l’intérieur de leur grosse carcasse c’est de la chair toute douce et super bonne ! De toute façon, quand c’est tout bien cuit, le poison il est plus là.
Ce serait trop facile si les Pokémon avaient juste à être poison pour pas être mangeable ! Tous les Pokémon ils seraient devenus poison du coup. Pasque ça marche comme ça la nature ! Si t’es nulle, tu meurs, alors si tous les poisons étaient mieux que les autres, y’aurait que des poisons ! N’empêche que, on marche, on marche, mais la forêt continue à se suivre et se ressembler. Jusqu’à un point ! Je m’arrête sur ce qu’un œil novice verrait comme un simple sentier perdu au milieu de nulle part, mais moi, je connais ça :
— Oh, bah regarde ! Ici l’herbe elle est toute écrasée par plein de chaussures, on aura bientôt retrouvé le sentier principal !
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Invité Jeu 3 Déc 2020 - 3:28 Cibou- HA ! David se retourne et se raidit, lâchant presque la corde qu’il tire. Pour lui, ça n’avait beau être qu’une petite citrouille volante parmi tant d’autre, il reconnaîtrait ce petit air entre mille. La même maudite pitrouille. Il se reprend, il n’allait tout de même pas montrer à une fillette – aussi forte, débrouillarde et experte eut-elle été – qu’il avait peur de son pokémon. C’est bien le sien, hein ?... Ou alors il devient tout simplement fou, comme les habitants. Ça doit être le vent chargé de pollen qui lui monte au cerveau. L’air infâme de la ville avait du bon, il l’avait toujours dit. Est-il soulagé ou perplexe face à la révélation d’une entité maternelle ? Bonne question. Il regarde Kata tout en ignorant totalement que son nom de famille illustrait parfaitement l’image qu’il se faisait d’elle et de sa situation. Car nul autre mot que « catastrophe » n’aurait résumé l’entièreté de cette journée. Il lui adresse un sourire poli « en général », ça lui donnait froid dans le dos. Fait-elle de ces plats enfantins où l’on met tout ce qu’on aime en pensant que ce sera bon ?... Il ne l’imagine pas autrement à vrai dire. David l’écoute tendrement, de cette oreille attentive d’adulte qui ne comprend pas l’histoire de son enfant et essaie d’y déceler du contexte pour finalement acquiescer. Ce qu’il fait. Évidemment : Tu es une experte ! s’exclama David, qui doute sérieusement du goût « doux » que pourrait avoir la viande d’un prédateur pourvu de pics empoisonnés de 30 centimètres de long. Et comment on sait si la chaire est… ‘’bien cuite’’ et qu’il n’y a plus de poison dedans ? D’un seul coup elle s’arrête, il lui rentre presque dedans et se fait un croche-pied à lui-même ce qui a pour effet de lui faire faire exactement ce que Kata explique. David n’y voyait là qu’une énième touffe d’herbe, qu’un énième trou dans ce sol chaotique, qu’un énième caillou. Pourtant Kata était catégorique : elle savait où elle était, du moins sa confiance en son propre diagnostique donna des ailes à David : Génial ! Tu veux dire qu’on ne va pas mourir de vieillesse dans cette forêt lugubre ? Quel soulagement ! Par où ? Go on ! Il la pousse du bout de son doigt avec gaité pour l’inciter à continuer sa route. Tu sais, je te trouve très brave ! Je pensais écrire une story sur toi, une histoire. Ça t’embête si je t’appelle « l’enfant sauvage » ?! Et si je dis que tu m’as enlevé avant que je m’échappe de justesse pendant ton féroce combat contre… il cherche le nom du pokémon. Ce… truc ? Ça donne du punch, tu comprends, ça fait comme… bref, tu vois quoi. Romanesque. Ça n’a pas besoin d’être vrai. Tu sais lire ? Qu’importe. Y a des gens très bien qu’ont jamais su lire comme… il ne trouve pas. Bref, y en a sûrement. T’as tout un tas d’autres qualités. Dont celle de potentiellement faire en sorte que ce voyage ne soit pas une totale perte de temps et d’énergie. Alors merci, merci de tout cœur ! Il a cette manière de dire des choses déplacées et offensantes sans vexer. Sans doute sa stupidité et son air débonnaire. Il agit comme s’il était déjà sorti d’affaire et qu’il n’aurait pas à goûter à la « bonne » cuisine de sa comparse. La nature lui réservait-elle d’autres surprises ? Ciboulette a toujours l’air aussi en colère, il devrait peut-être dire quelque chose… mais quoi ? : Dis… tu as l’air de savoir dresser les pokémons. Ils ont l’air de t’écouter. Moi Venti, mon Ramoloss, il fait un peu ce qu’il peut ou veut. T’aurais pas des conseils d’autochtone ? T’sais un truc comme spiritual ou genre faut écouter la voix de nos ancêtres ou avoir un pokémon totem… Ou une sorte de plante pour que j’atteigne l’éveil et que j’arrive à faire des trucs sans efforts ? |
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Kata Strophe Jeu 3 Déc 2020 - 21:32 Hahaha, il a été tout surpris par Ciboulette ! Le Pitrouille semble se satisfaire de cette réaction puisqu’il ricane avant de venir voleter autour de moi, levant les derniers doutes quant à notre amitié. J’essaye de tapoter le Pitrouille d’un doigt pour le réprimander gentiment de ses bêtises, mais celui-ci s’amuse à m’éviter à chaque fois avant de finalement venir voleter au-dessus de ma tête, hors de portée. Il a l’air de s’être bien amusé à nous regarder faire le monsieur et moi, aujourd’hui !
J’ai l’impression que le monsieur, il aurait bien besoin de cours de cuisine ! Il pose plein de question, c’est amusant ! Faudra que je lui présente maman un jour, comme ça elle lui montrera tout tout tout bien mieux que moi !
— Ben, si tu tombes pas malade après l’avoir mangé, c’est que c’était bon ! m’exclamai-je en ricanant.
C’est pas vrai, on peut savoir autrement, à l’odeur je crois, au gout ou en perçant selon les viandes mais c’était trop drôle pour pas le dire ! De toute façon, quand c’est bien cuit, c’est toujours bon en général !
Plus on parle, et plus je le trouve amusant, le monsieur ! Surtout avec ses expressions bizarres que je comprends pas ! Je me laisse porter par le mouvement quand il me pousse à avancer, toute contente de l’écouter me parler de raconter mon histoire. Loin d’avoir tout pigé, j’ai surtout compris qu’il avait l’air content et enthousiaste ! Alors tous les trucs qui pourraient être pas si bien dans ce qu’il dit, moi je les prends super bien quand même !
— Merci, t’es super gentil ! Moi ça m’ennuie de lire pasque c’est super long, mais je sais faire ! Ça a l’air amusant comme tu le dis, alors j’essayerai quand même ! Oh, et c’était un Nidorino le gros bestiau.
Par contre, pour la suite… ah, là, il exagère ! J’éclate de rire en l’entendant parler de dressage.
— Ah bah bon, je peux dire tout plein de trucs cools sur la chasse et même la cuisine de ma mama, mais pour les Pokémon je suis encore plus nulle que toi ! Ciboulette il fait bien ce qu’il veut, et Split c’est pas moi qui l’ait entrainé, c’est ma grande sœur Volti ! C’est juste qu’il est le plus gentil des Pokémon, alors il m’écoute super bien ! Mais j’ai un gros oiseau qui s’appelle Monsieur Croa, lui il fait queeeeeee des bêtises tout le temps, il attaque les gens, et même qu’une fois j’ai voulu monter sur son dos, il m’a empêcher de redescendre toute une journée !
Mes paroles pourraient paraître frustrées, j’ai pourtant un timbre joyeux en racontant tout cela, cette histoire terrifiante d’un jour ne m’inspirant plus qu’un lointain souvenir amusant aujourd’hui.
— Si tu trouves ta plante qui marche pour apprendre à faire que tes Pokémon s’élèvent bien, je la prends aussi, hihi ! Moi je sais juste que les conseils des autres, c’est tout nul, ça marche jamais !
Voir que, étonnamment, on commence presque à s’entendre inspire une idée au Pitrouille. Il plonge dans mon sac et en ressort le vieux polaroid récupéré au salon.
— Oh, oui, oui ! Trop bonne idée ! (je me tourne vers le monsieur.) On pourrait prendre des photos tous les deux avec le Nido ! En plus, comme ça, tu pourras même dire que c’est grâce à toi qu’on l’a attrapé !
Moi, je trouve l’idée géniale ! Si le monsieur accepte, Ciboulette sera ravi de nous tirer le portrait.
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Invité Ven 18 Déc 2020 - 13:29 Merci mais non merci, pensa-t-il. Il n’allait pas manger de la viande de gibier. Encore moins maintenant que la petite venait de lui dire que s’il ne mourrait pas c’était qu’il était en vie. Logique imparable. C’était rassurant en un sens que son âge se fit enfin sentir dans son discours d’enfant armé jusqu’aux dents. Est-ce que c’était un piège à Ursaring dans son sac ?! Il n’osa pas lui poser la question si c’était possible d’être plus nul que lui au dressage de son pokémon, se considérant lui-même comme incroyablement mauvais autant ne pas se donner cette peine. Rôle obligeait, impossible pour lui de se mettre plus bas que ses propres standards, même s’il n’y correspondait d’aucune façon : « Woooooow… laissa-t-il planer alors qu’elle lui comptait ses aventures et qu’il se jurait de ne jamais écouter ses conseils les plus simples, comme par exemple celui de goûter pour savoir si c’est bon. Au moins Venti ne peut pas s’envoler si je lui monte dessus, à vrai dire, il pourrait à peine marcher. Quand je suis arrivé j’ai été obligé de l’arrêter, il attaquait tout le monde. » Le Pitrouille « ciboulette » plongea dans le sac de Kata, David esquissa un pas de recul, ce maudit pokémon allait sortir le piège et lui balancer à la figure c’était SÛR ! Mais non. Il en sortit un appareil photo, un polaroid, une relique autant dire. David était à la fois impressionné par le nombre d’objets que Kata transportait et leur diversité… Alors c’était ça ‘’être préparé’’ ? Surtout, c’était bien la première invention qu’il voyait qui faisait vaguement référence à son pays natal : « Nan mais j’a-llu-cine quoi ! Il trépignait et sa voix était guillerette. Un polaroid ?! Mais ça change tout ! Il remet ses cheveux, se tapote les pommettes du bout des doigts et semble forcer un sourire comme pour s’échauffer avant une activité physique. Ok, let’s do this. » S’en suivit une séance photo digne des plus grands défilés de mode rétro de Kalos, à l’échelle Mistral, bien sûr. « Donne-moi du glam ! » avait-il crié à Kata qui tentait tant bien que mal de suivre la cadence alors qu’il lançait un nouveau : « Perfect, je veux de la sensualité, du courage ! Je te veux en Laura Craft, aventurière, emblème féminin et créatrice de DIY ! » - SNAP - -SNAP - - SNAP – Et puis vient le tour des selfies, à bout de bras avec le polaroid ce ne fut pas une mince affaire, se mettre dans le cadre était tout une épopée et, l’espace de quelques minutes, David et Kata n’étaient plus à Mistral, et n’étaient plus des étrangers l’un pour l’autre, même l’âge n’avait plus d’importance. Alors, après une énième pause avec ses doigts en « V » et un clin d’œil et sa fameuse pause ‘’théière’’ qui faisait sa signature sur Spindagram, David réalisait qu’il n’avait pas eu autant de fun depuis qu’il avait envoyé balader sa ‘’meilleure amie’’ pour une histoire d’appropriation culturelle qui a mal tourné. Plus de photo, encore plus, David donne l’appareil à Kata, le fait qu’elle ne sache pas forcément comment cadrer ou ne pas avoir une photo floue lui importait peu : cela donnera du crédit à l’histoire. Ce safari dans la forêt du mont Bazoucan, l’enfant sauvage ayant dérobé son appareil photo, lui la pourchassant et tombant nez-à-nez contre le… le… NIDORINO, et enfin, s’alliant à l’autochtone face à l’adversité. Oui, l’histoire qu’il se faisait changeait de minute en minute, la story parfaite ne s’écrit pas en une heure. Deal with it. Il y repenserait plus tard. Et une dernière photo, Pitrouille, Kata et lui, ni de froufrou, ni d’attitude, une photo simple, naturelle. L’angle n’est ni flatteur ni horrible, la composition est inintéressante. Seule sur leur visage se lit une certaine joie, quelque chose que Mistral venait de lui apporter. Les photos éparpillées par terre, à peine en train de se développer d’elles-mêmes – c’était déjà une prouesse –, David les ramasse puis tend cette dernière photo d’eux trois et du Nidorino qui, malgré sa tête complètement explosée, paraissait dormir et était étrangement photogénique pour un cadavre : « Tiens, une pour toi au moins ! il lui tendit la photo et lui déposa dans les mains. Prends aussi celle-ci. » Une autre, où Kata paraissait glorieuse au-dessus de son trophée, la vérité que le monde n’aurait pas mais que Mistral devait savoir. |
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Kata Strophe Ven 18 Déc 2020 - 22:08 C’est vrai que c’est ennuyeux, un Ramoloss. Ça bouge pas du tout ! La seule chose bien avec eux, c’est de les manger parce qu’ils font les meilleurs lardons du monde ! Néanmoins, le sien attaque des gens. C’est fou, même un Ramoloss peut devenir un méchant Pokémon ! Pourtant, c’est si… inactif ! Le temps qu’il attaque, t’es à l’autre bout de Mistral, non ? J’y réfléchis, mais… bien vite, on passe à la suite. Pasqu’à la sortie de l’appareil de Ciboulette, le monsieur est comme entré en transe et s’est transformé en un autre ! Même ce qu’il dit, parfois, ça a aucun sens, genre quand il me redit que son lait dose six ou je sais pas quoi. J’crois pas que ce soit la première fois, mais pas moyen de déchiffrer !
En tout cas, pour la suite, l’a fallut suivre la cadence. Et ça enchainait, ça je peux vous le dire ! Même que parfois, il me demandait des trucs, comme du glam, et le temps que je fouille dans mon sac en me demandant ce dont il s’agissait, il avait déjà repris une photo. Du coup, j’essaye de faire des poses, suivant ses directives… enfin, je crois. Ciboulette, lui, il prend les gens sur le vif quand ils s’y attendent pas du tout la majorité du temps. Du coup c’est souvent flou ! Mais le monsieur, on dirait qu’il cherche toujours à prendre la photo quand elle sera vraiment parfaite de chez parfaite ! Ciboulette semble d’ailleurs très content de pouvoir apparaître sur certaines photos, pour une fois qu’il n’a pas à toutes les prendre ! À ses yeux, cette journée allait de perfection en perfection !
Ciboulette m’aide un peu quand je me retrouve à devoir prendre la main. Il m’assiste pour que je comprenne comment ça marche, puis s’amuse à apparaître à nouveau auprès de la "star" du moment, prenant lui aussi des poses dans un registre plus blagueur que son concurrent.
Finalement, je me suis laissée entrainer par notre enthousiasme. Maintenant, je comprends pourquoi Ciboulette il prend tout le temps des photos comme ça depuis qu’on a trouvé cet appareil ! Comme je le dis moi-même :
— C’était trop génial !
Je saute sur place, encore pleine d’énergie de notre séance photo, laquelle fut pourtant aussi éprouvante que la chasse la précédant. Et pourtant, je ne suis pas au bout de mes surprises. Pasque jusqu’ici, on faisait des photos pour qu’il ait des photos lui permettant de raconter son histoire. Je m’attendais pas à en récupérer deux :
— OOooooh, t’as vu ça, Ciboulette ? Elles sont trop trop super belles ! Merci, merci !
Pouf, Monsieur qui parle bizarrement a droit à un véritable câlin de ma part tant je suis contente ! On peut dire que cette journée qui a commencé par une grosse frustration aura su se rattraper ! Et que ma première impression du monsieur était complètement fausse. En fait, il est super cool !
Une fois la séance terminée, je range délicatement les deux photos aux côtés des autres trésors pris par Ciboulette, puis tout le monde reprend la marche dans une bonne humeur évidente. Comme je l’avais deviné aux premières traces, on rejoint bientôt le sentier principal, puis les premières brique de civilisation percent enfin à travers ces bois infinis. Objectif accompli !
— Tadaaaam ! Et voilà, on a enfin retrouvé la sortie ! m’exclamai-je fièrement. Et il fait même pas nuit !
Mais c’est pas moi toute seule, hein ! J’offre de grosses papouilles à Split avant de le prendre dans mes bras pour lui faire un gros gros câlin à lui aussi. Je fais de grands sourire au monsieur, tout comme Ciboulette qui semble avoir laissé de côté les blagues depuis la séance photo pour se montrer bien plus chaleureux avec notre nouveau copain. J’imagine que c’est l’heure des aurevoirs, maintenant ? Mais vous pouvez être sûr que lui, je l’oublierai pas ! Même que j’ai hâte d’entendre parler de cette histoire avec moi dedans !
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