Saison Un

: Obscure Prophétie

Tom tira sur le dossier de sa chaise et s'assit en soupirant d'aise. La mission au gouffre Cabriolaine était terminé et son dos lui faisait un mal de rocabot. Il avait beau être en forme, il n'était plus tout jeune et parfois, une stupide douleur nuisait encore plus à son humeur désagréable habituel. Dune était resté à l'extérieur avec Branche. La Keunotor s'était endormit sur le chemin du retour et le bûcheron avait préféré la laissé dans l'une des sacoches que transportait l'ânesse que de la réveiller et devoir la surveiller à l’intérieur.

Surtout qu'il avait deux autre pokémon à charge. Briquet le Ouisticram se tenait toujours accroché à son dos, n'aidant en rien ses douleurs. De l'autre côté, Grêle. Le Farfuret était sortit d'un œuf pendant le trajet et offrait déjà des signes d’indécences. Beaucoup plus précoce que le macaque quoi! Grognant, l'homme plaça les deux créatures sur une chaise proche et se commanda à manger. Il y avait tout de même beaucoup de personne dans la salle. Quelques uns, comme lui, mangeait le dernier repas du jour. D'autres ne faisaient que boire en discutant.

Dès que sa commande arriva, le bûcheron entreprit de manger avec bon appétit. Il en était tout juste à sa deuxième bouché qu'une personne parla avec plus de force que d'ordinaire de l'autre côté de la salle. Une histoire de triche. Le Ranger tourna la tête un instant, jugea du regard les joueurs de cartes et reprit son repas. Il gardait ses priorités aussi.

Hm… Le salon de l’agriculture avait été plus calme que prévu. Finalement, il n’y eut pas trop de débiles qui avaient tenté de s’attaquer à l’élevage de Krystal. Au final, ça avait été assez reposant. J’avais décidé de rester un temps en ville pour profiter de l’endroit. Ou j’avais juste la dalle et j’avais préféré rester ici pour manger. Je vous laissais deviner que la réponse deux était la bonne.

Quoiqu’il en soit, je venais me poser dans une auberge non loin. Pénétrant dans l’établissement, j’avais commandé un peu près tout ce que je pouvais sur la carte. De mon équipe, je n’avais sorti que Pendragon, le Gallame, Minerva, la Lucario aux larges cicatrices et War, le Braségali. Le reste de l’équipe restait dans leur pokeball soit parce qu’ils le préféraient, soit parce qu’ils étaient trop casse pieds. Oui, c’était de toi que je parlais le Tiboudet.

Bref, on était posée tranquillement dans un coin. On n’ennuyait personne. On ne cherchait pas de problèmes. Franchement, je crois qu’on pouvait dire que j’étais une cliente modèle ce soir. Mais bon, le destin avait surement décidé de me faire passer une mauvaise soirée. Ou une soirée mouvementée au pire.

Tout commença par un jeu à la table voisine. Malgré tous mes efforts, je ne pouvais pas ignorer les murmures de mécontentement et de rage. Evidemment, cela finit par éclater en dispute. Mais je m’en moquais de vos histoires. Et ils commençaient à se battre en plus ces débiles. Enfin… se battre…. C’était un grand mot. On voyait que c’était des ivrognes qui faisaient des combats d’ivrogne. Qu’est-ce qu’il pourrait mal se passer ? Genre, qu’il y en avait un qui balance l’autre sur ma table gâchant ma nourriture ?

….

….

…

MA NOURRITURE ! Et ils repartaient se battre. Le soupire était profond. Ma colère infinie. Je me levais en silence. Je tapotais l’épaule d’un des gars. Et il se retourna pour m’adresser son plus joli « ferme-là la gourgandine ». Autant dire qu’en deux secondes, il s’était pris un coup dans le bide qu’il le fit s’effondrer au sol, plié en deux de douleurs. C’est bon, ils étaient calmes ? Hé bah non, parce que j’entendis deux mots qui me firent soupirés alors que je me pinçais l’arête du nez.

« BASTON GENERALE. »

Soirée de brin.

La situation semblait aller en escaladant de l'autre côté de la salle. Les joueurs de carte, en plus de levé le ton s'étaient désormais levés, se menaçant ouvertement d'en venir aux poings. Rictus en coin, le bûcheron était presque ravit d'avoir un spectacle pour accompagner son repas. À voir la tronche de l'aubergiste en plus, la scène était on ne peu plus banale dans son établissement. Il était donc possible que les participants ne craignent rien, augmentant encore le chances d'en venir aux poings.

Un mouvement à sa droite attira son attention. Tom tourna la tête, remarqua que Grêle reprenait sa place. Hein? Le Farfuret était partit? La créature fixait avec curiosité une carte de jeux qu'elle tenait sa sa main. Oh... Est-ce que la disparition de cette carte, qui se révélait être un roi pouvait être la raison de tous ce raffut?  Le Ranger finit sa bière d'une traite. Oups? Bah, ce n'était pas si grave non? Sauf peut-être pour un témoin à une table voisine qui se leva d'un coup pour venir accuser son pokémon. Le Bûcheron grogna. Bon sang... Si l'autre voulait chaparder, au moins qu'il ne se fasse pas voir!

« BASTON GENERALE. »

Ce cri devint un véritable signal de départ. Ok. S'il ne pouvait pas manger en paix avec l'autre qui l’achalait pour une simple histoire de carte, Tom n'allait vraiment pas ce priver. Le bûcheron se leva d'un coup, comme la majorité des personnes dans l'auberge en fait. Les combats se multipliaient et le niveau des décibels atteignait un nouveau sommet. Le type était plus grand que lui, ce qui n'était pas surprenant. Ont ce moquait souvent de sa taille et monsieur bâton dans le cul ne se priva pas pour faire partit du lot. Très bien, le Ranger était plus qu'en colère, là, il était motivé à l'idée de lui faire ravaler ses mots et sa langue avec.

Le Bûcheron chargea tel un buffle. Soulevant l'autre type du sol, le portant le temps d'un instant par-dessus son épaule, il se déchargea presque aussitôt, le faisant tomber avec force sur la table voisine. Les copains de bâton dans le cul, tête de racaillou et l'édenté se levèrent, prêt à prendre la défense de leur copain. Sourire en coin, Tom se fit craquer les jointures, impatients de voir la suite.

Mais quel bordel… Je voulais juste manger. Pourquoi est-ce que tout partait toujours en sucette ? Je poussais un long soupire. Cela n’était même pas un défi intéressant. Déjà, je voyais les combats commençaient un peu partout. Un petit renversé un grand sur la table d’en face. D’autres se battaient au sol comme des enfants. Des chaises se soulevaient pour servir d’armes de fortune.

Levant les yeux au ciel, j’allais pour m’asseoir mais, du coup de l’œil, je vis que les compagnons du mec que j’avais punché voulaient en découdre. Personnes bourrées, habituées à des bagarres de bar. Aucune technique. Esquive du coup de poing. J’attrapais le poignet. Mouvement sec. Homme à terre, pleurant à son poignet tordu. Je continue à avancer. Deuxième homme, coup de poing vers ma tête. Je penchais la tête sur le côté. Deux doigts vers sa gorge. Mise à terre par suffocation.

Prochain défi. Un colosse de plus de 2 mètres aux muscles saillant. Il tenta de m’asséner un énorme coup avec ses deux mains formées en un poing. Je balançais mon poing en avant droit sur ses poings. Un craquement sinistre se fit entendre alors que ses mains prenaient de pleins fouets mon attaque. L’attrapant par l’avant-bras, je le balançais comme un déchet et vola jusqu’à se cracher sur un groupe de trois hommes qui voulaient en découdre avec le petit que j’avais vu plutôt.

Je regardais autour de moi. Certains reculaient ou éviter de croiser mon regard. D’autres me défiaient du regard. Je fis probablement la pire des choses pour eux, je haussais des épaules, leur adressant des yeux sans aucune émotion. Visiblement, certains étaient mécontents et les voilà briser leurs bouteilles ou verre ou utiliser des chaises comme armes. Vraiment ? Voilà pourquoi je n’aime pas l’alcool. Ça rend les gens totalement débiles.

C'est tête de Racaillou qui chargea en premier, brisant le contact visuel pour le remplacer par celui de ses poings. Tom esquiva le premier coup et se prit le second dans l'épaule. Il grogna, c'est qu'il avait la force qui allait avec son surnom celui-là! Il s'avança à son tour, diminuant encore la distance entre eux pour faire parler ses propres jointures. Il balança un bon coup dans l’estomac du type avant que l'édenté n'intervienne. Pendant un moment, le bûcheron parvient à faire face sur les deux front, échangeant les coups tel le grand habitué qu'il était.

Les batailles de bar, c'était très commun par chez lui. Il tenait très bien l'alcool, alors c'était plutôt rare qu'il se retrouve à les déclencher par accident. Non en général, c'était volontaire de sa part. Sa animait si bien une soirée! Par contre, a un contre trois, c'était très serré. Un peu trop pour être confortable. Le bûcheron recula alors qu'un nouveau coup de poing venait de s’écraser contre sa mâchoire. Loin d'abandonner, il serra ses poings et fit craquer son cou, prêt à poursuivre. C'est ce moment précis que choisi un géant pour faire un vol plané et atterri sur le trio d'imbécile.

Tom les fixa une seconde, surprit, avant de finalement chercher d’où provenait l'autre colosse. La réponse? Une petite dame dans le fond de la salle. Bon... Pas si petite, elle devait être plus grande que lui, ce qui n'était pas un exploits en soit. Une dame donc à qui il offrit un léger sourire amusé. C'était voulu sa ou pas? Dans tous les cas, il lui en devait une! Et comme elle se retrouvait encerclé par des types qui voulait clairement profiter de leur surnombre... Le bûcheron saisit sa chope vide et en tour de main, il la balança avec précision en plein dans la figure d'un type qui voulait profiter d'un angle mort pour attaquer la femme. Hey, peut-être qu'elle l'aurait vue venir même si elle était encerclé, peut-être pas, qui sait? Pour lui, sa dette était payé et il reste encore quelques tronches à éclater.

Quelle situation infernale. Et il me voulait quoi le petit ? Pourquoi il me souriait ? J’avais fait quelque chose ? Ha, je l’avais aidé en balançant le géant… Boarf. Ce n’était pas voulu. Et il me balançait un truc non ? A vrai dire, il allait me rater et le verre se brisa sur un mec. Mon regard se tourna. Ha oui, c’était vrai que j’allais devoir affronter un groupe de mec qui voulait du sang. Je grognai. Ouais, j’avais été imprudente sur ce coup.

Ts. Sérieusement, me faire aider ainsi… Il y avait du relâchement. Faut dire que je n’avais pas encore assez mangé. Rah, les erreurs risquaient de se multiplier. Bien, il ne fallait pas trainer. J’avais besoin de ma dose d’énergie. Rapidement, j’ingérai une poignée de bonbons que je mastiquais rapidement. Une petite montée rapide de sucre et j’étais prête à me battre.

Commençons. Déjà, on va éclater ce bout de bois du tranchant de la main. Coup de pied dans le bide. Déjà un autre arrivé, je pivotais, lui donnant un coup de pied à l’épaule et le pauvre homme décolla. Le troisième arriva. J’attrapais son visage et je l’entrainais vers le sol, le plaquant. Bon, le combat commençait à se calmer, un peu.

Je m’avançais entre les tables, cherchant quelque chose de bien précis. Oh, trouvé ! Une brochette intacte. Bien sûr que je la prenais commençant à la manger. Aller, je finis même par m’asseoir à une chaise, posant mes pieds sur la table et regardant les derniers combats. Tiens, observons le petit homme pour voir comment il s’en sort.

Après avoir filé un coup de main à l'autre histoire d'être a égalité, le bûcheron s'était retrouvé avec seulement deux types à gérer. Vraiment, la majorité avait prit en grippe la femme un peu plus loin. Avec raison en quelques sortes. Si elle était capable de balancer des types à travers la pièce au même titres qu'une poignée de pièce... Fallait mieux si prendre à plusieurs pour ce risquer à la mater oui. Enfin, sa c'était pas son problème parce qu'à moins que la femme décide de s'en prendre à lui... Tom comptait bien éviter de la mettre en pétard! Hey, il savait s'amuser s'en prendre de risque inconsidéré lui!

Son poing trouva refuge dans le visage du premier homme qui lui faisait face. L'autre en profita pour le charger et tenta de le renverser. Le bûcheron recula sous l'impact, mais parvint à rester camper au sol. Il agrippa l'homme pour le maintenir en place et remonta son genoux d'un coup sec, lui coupant le souffle. Le premier, qui avait reprit un peu ses esprits suite au coup de poing revint à la charge et renvoya l’ascenseur. Grognant sous la douleur, le ranger choisit dans finir. Il attrapa le nouvel arrivant de son bras libre. Profitant du fait que le second qui reprenait à peine son souffle était mou comme une guenille, Tom utilisa la tête de l'un comme masse contre celle de l'autre.


Les deux tombèrent au sol comme une masse, ne laissant plus que le bûcheron essoufflé sur place. La ranger fit pivoter l'une de ses épaules endoloris par l'échanger et regarde autour. Il ne restait presque plus personne. Au fond, deux types finissaient d’échanger quelques amabilités et là où se trouvaient la femme plus tôt ne restait plus que des personnes plus ou moins assommé au sol. Parfait! L'homme se secoua les mains, satisfait et retourna à sa table. Pour se rendre compte que la femme s'y trouvait. Pire. Elle était carrément en train de bouffer son repas. Sérieux?!

Tom grogna et ces épaules s'affaissèrent. Nop! Pas question! Voilà un repas qu'il n'allait pas réclamer! Il fit signe à l'aubergiste et ce dernier approuva d'un mouvement de tête, délaissant ce qu'il faisait pour retourner en cuisine. Le bûcheron retourna donc à sa table. Que la femme y soit ne changeait en rien que son sac et ses pokémon aussi si trouvait. Peuvent en es le Ouisticram qui ce ''cachait'' pas du tout efficacement sous la table, puisque c'est deux yeux dépassaient pour observer l'inconnu assise à côté de lui.

Hé, mais c’était qu’il n’était pas mauvais le bougre. Enfin, cela se voyait qu’il avait de l’expérience. Si je n’avais pas ma force, ce serait peut-être un combat marrant. Tiens, il se rapprochait de moi. Il voulait vraiment se la donner ? Il avait peut-être envie d’être le dernier debout. Quoique, au final, il vint se poser en face de moi.

Mes yeux se portèrent sur les affaires autour. Ha, j’étais à sa table et je mangeais sa nourriture… Bon, est-ce que je m’en voulais ? Pas un seul instant. Mais je n’étais pas non plus la dernière des enflures. Je fouillais dans mon porte-feuille et j’en sortis de la liquidité. Je n’allais pas mentir, j’ignorai combien je lui avais donné et combien coutait son repas, mais je lui tendis quand même l’argent.

Je supposai donc que le Ouisticram était à lui aussi. Dans tout ça, est-ce que je lachais ma nourriture acquise ? Non, pas du tout, je continuais à manger tranquillement, ignorant l’état désastreux de l’endroit. Dans leur coin mes pokemons restaient à mon ancienne table, même pas choqué par le bazar mis.

Je finis par faire un signe de tête indiquant les malabars au sol avec un sourcil interrogateur. Ils étaient nuls à quel point ? Oui, j’aurais pu parler, mais j’avais la flemme et puis, je mangeais là.

Tom eu tout juste le temps de savoir que la dame sortit des billets qu'elle plaça sur la table. Le bûcheron redressa un sourcil, surprit par cette preuve de civisme. Il allait pas s'en plaindre, elle bouffait son repas, alors autant qu'elle le paye! C'était juste surprenant. Elle ne devait pas faire partit de ceux d'on la raison était embrumé par l'alcool, à l'inverse d'au moins la moitié des hommes au sol. D'ailleurs, certains parvenaient à se remettre sur pieds de-ci de-là, retrouvant le confort de leur chaise, trop abîmé pour reprendre les hostilités. Les autres restaient au sol et si personne ne les poussaient à se bouger, ils seraient probablement encore là le lendemain matin. Ce n'était pas Tom qui allait se donner la peine de leur faire bouger le cul.

Parlant des abrutis qui jonchaient le sol, la femme lui indiqua d'un mouvement de tête ceux que le bûcheron avait couché en dernier. Hum? Oh, elle devait ce demander si ceux-là avait valut la peine. Le ranger offrit une grimace désapprobatrice avant de balayer l'air de sa main, un peu comme s'il chassait un moustique invisible. Nop! Ces types n'avaient pas du tout valut le détour! Mais bon, compétant ou pas, sa restait moins impressionnant que le troupeau qu'elle avait maté a elle seule! Il les pointa du pouce d'ailleurs, retournant la question à sa propriétaire initiale.

Sur ce, le patron sortit des cuisines se dirigea vers eux, nouvelle assiette en main. Dès que le couvert fut déposé sur la table, Tom fit glisser l'argent offerte par la femme et le propriétaire saisit les billets nécessaire pour payer le repas et un généreux types. Sans doute cela allait l'aider à payer pour les dégâts. Rassurer de voir que l'inconnu n'était pas bien méchante, le singe sortit complètement sa tête de sa cachette. Grand sourire, les yeux plein d'étoiles il la salua vivement avant de faire semblant de frapper le vide en direction des types au sol. Et bien, lui aussi avait été impressionné par l'affrontement. Plus que le Farfuret qui, toujours assit à ses côtés jouait avec la carte volé à la table de poker.

Visiblement ses adversaires n’étaient pas spécialement à la hauteur. Il n’y avait vraiment que des empotés. Bon, cela m’arrangeait. J’arrivais à contrôler ma force à un certain niveau, mais j’avais du mal à bien la contrôler contre des gens réellement doués en combat. Non, parce que se retenir, attaquer, contrer, prévoir… Tout ça à un certain niveau, il y en avait un qui finissait par faire défaut et généralement, c’était l’aspect retenir qui sautait le premier.

La question me fut reportée ? Hm ? Qui ? J’haussais les épaules. Je ne me rappelais même plus leurs visages. Ils me détesteront peut-être à leur réveil, mais je ne me rappellerais même plus d’eux. Pour moi, c’était juste un jeudi. Enfin, on n’était pas jeudi, mais on comprenait l’idée dans ce que je voulais dire.

Quoiqu’il en soit, mon partenaire de table avait des pokemons qui auraient fortement intéressé Lior. Quoiqu’il en soit, mes trois combats finirent par revenir aussi. Mon regard scruta un instant le pokemon glace. Il avait une carte à jouer là. Il la tenait d’où ? Au final, ce n’était pas vraiment mon problème.

Alors que le serveur arrivait, je faisais un signe deux. Oui, non, j’avais encore faim. Mon ventre criait famine (on l’entendait grogner) alors que je remettais encore un peu d’argent en place. J’avais tellement la dalle.